dimanche, mai 31, 2009

Sanctuaires

Vous vous souvenez que j'ai parlé de quiétude et de sérénité dans les établissements scolaires, en disant que cette quiétude et cette sérénité peuvent émaner de la construction des établissements, de leur architecture : bâtiments qui n'ont pas plus d'un étage, avec arcades, couloirs en balcon, grandes fenêtres ogivales donnant sur des arbres et sur le ciel.
Et voilà que le chef de l'Etat s'empare de mon vocabulaire, des mots sérénité, quiétude, cloître, il en fait des sanctuaires, et parle de sanctuariser les établissements scolaires.
Alors je mé précipite sur l'article : "ils" ont enfin compris que le cadre, l'architecture des établissements scolaires contribuent à donner une impression de calme, qui rend les élèves studieux et empêche la montée de la violence.
Et bien non! Ils n'ont rien compris à ma Réforme! Les Grands de ce Monde n'ont toujours rien compris et j'ai bien fait de dire par ailleurs de ne pas croire en eux!
Eux, ils veulent transformer les établissements scolaires en sanctuaires par une surveillance renforcée, alors que moi, je veux les transformer en sanctuaires par l'impression exercée sur les élèves par des bâtiments qui ne ressembleraient plus au cotraire à des prisons uniformes, mais à des édifices religieux, avec des ambiances d'église (avez-vous déjà ressenti quelque chose qui ressemble à de la sérénité et de la quiétude en pénétrant dans une église?). Même sans croire on peut accéder à une certaine spiritualité dans un bâtiment qui respire la Paix et la Quiétude.
Je suis allée en classe dans l'enseignement privé (tout en enseignant dans l'enseignement public) et je peux dire qu'on ne pénétrait dans la chapelle de ma vénérable institution, chapelle qui était située à l'étage de celle-ci. Déjà en haut de l'escalier en bois ciré, revêtu d'un tapis central, comme dans un château, on marchait sur la pointe des pieds, car c'était l'espace le plus vénérable de l'institution et quand on pénétrait dans la chapelle aux bancs de bois et au plancher ciré, on marchait sur la pointe des pieds. Même les plus délurées marchaient à pas feutré et personne ne bavardait, tant de ce lieux semblait émacer une Paix que l'on ne voulait pas troubler.
Alors que l'on marchait comme des éléphants sur l'escalier en caoutchouc rebondissant qui montait au deuxième étage et aux classes. Ce qui prouve bien que même l'aspect de l'escalier incitait à des démarches plus ou moins lourdes et influençait notre comportement.
En ces années 60, il n'y avait aucune surveillance vidéo, aucun portique, rien ne disparaissait. Sauf les bérets des uniformes qui atterissaient régulièrement sur les préaux. Avec les ballons.
Quand on était dans les classes qui étaient en face de la chapelle de l'autre côté de la cour (en été des éclaires traversaient parfois la cour entre nous et la chapelle, on les voyait zigzaguer) rien que l'aspect du clocheton recouvert d'ardoise de notre chapelle et le deuxième clocheton de la Grand Poste, donnaient un aspect calme et majestueux à nos études. Malheureusement l'aile d'où l'on pouvait voir ce spectacle a disparu. D'après ce que j'ai pu voir de l'extérieur.
Bref, mon établissement, même sans avoir de cloître semblait être un sanctuaire.
Alors, moi, je dis que les ministres et consorts n'ont rien compris. Exit les consignes de sécurité qui bannissent les armoires en bois (ce fût le cas dans un lycée, dont j'ai vécu la "rénovation").
Je suis allée faire il y a une dizaine d'années de l'EILE dans une école publique. A l'étage, il y avait encore du plancher dans les classes, tout ciré. Une grande salle accueillait les élèves pour le goûter de Noël : elle était aussi tout en bois avec un plancher ciré. Tout de suite, en arrivant dans le couloir de l'étage, on avait l'impression d'être dans un établissement vénérable, ce qui n'était pas le cas au rez-de-chaussée où le sol était en béton. La classe de CM2 du haut (la classe au plancher de bois) était aussi plus studieuse que la la classe de CM2 au sol en béton du bas. Etai-ce réellement un hasard?
Bon, ceci dit, je pense que ma demande de bâtiments, solides et jolis avec galeries imitant les cloîtres, fenêtres ogivales, plafonds hauts, donnant une impression de bâtiment respectable n'a pas été du tout entendue. Tout ce que les grands de ce pays ont retenu, c'est le mot "sanctuaire"!
Et le mot "sérénité".
Mais les caméras vidéos, le système policier que les grands de ce pays veulent installer dans les écoles, rien à voir avec ma demande d'une architecture qui incite à l'étude et à la Paix.
Que les ministres viennent se servir dans mon blog sur Ma Réforme de l'Enseignement de mes phrases et les détournent en en faussant complètement le sens, voilà qui n'est pas très fair-play!
C'est la lutte de Jean-Jacques Rousseau contre le Despotisme non éclairé.
La seule chose que je mettrai dans chaque classe, c'est un téléphone interne permettant d'appeler au secours si un problème grave se pose, ou permettant de venir faire chercher un élève qui embête tout le monde. Souvent (j'en ai l'expérience au CDI), il suffit d'effleurer du doigt le combiné du téléphone pour que l'élève se calme. Et cela suffirait à établir le calme dans tous les établissements.
Bon, voilà, je vois que l'on profite de mon vocabulaire pour en détourner les sens.
Alors, voilà pour mes lecteurs : je pense que le Cadre dans lequel évoluent les élèves a une importance primordiale sur leur compotement : verdure, et architecture traditionnelle, devaient contribuer à cette ambiance sans qu'intervienne des pesonnes extérieures à l'enseingnement.
dominique

vendredi, mai 22, 2009

Les matières

Pour les quatre cycles, les matières seront les suivantes, chaque subdivistion de matière constitue une "colonne" dans lequel l'élève montera par trimestre, chaque trimestre de chaque colonne constituant un module :

- Les bases indispensables :
Lecture/Ecriture
Apprendre à dessiner des formes, à lire, à écrire, savoir lire couramment, avec le ton. Comprendre ce qu'on lit, savoir l'expliquer
Calcul/Arithmétique
Dessiner les formes, carrés, cercles, triangles, etc... savoir faire des calculs de surfaces, de volumes, les quatre opérations, les litres, les mètres, les intervalles, etc...

-Les matières du primaire et du secondaire :

Savoir lire et s'exprimer :
- français
- langue étrangère 1, grammaire "européenne".
- langue étrangère 2 : langue agglutinante.
- langue étrangère 3 : autre système graphique.
- latin, grec.

- Les matières de calcul et spatiales :

- calcul, algèbre,
- géométrie
- géographie physique,
- géologie géorgraphique,
- sensibilisation à l'architecture
- physique
- chorégraphie, danse
- orientation (courses d'orientations, jeux de piste dans les villes françaises et étrangères, frontières proches..)
- astronomie

- Les sciences de la matière

- Chimie
- Biologie végétale
- Biologie animale et humaine,
- Connaissances de la composition des matières (tissus, plastiques, poudres à laver, produits d'entretien).
- Géologie (sur le plan composition des roches).
- Agriculture (connaissance des sols et des cultures)
- Ecologie

- Culture :
- Littérature mondiale,
- Histoire,
- Histoire des religions
- Histoire de ma région et de ma ville
- Architecture ancienne
- Arts plastiques, peinture, sculpture, sur le plan culturel
- Arts plastiques sur le plan artistique (création),
- Musique :
Histoire de la musique (classique, mais aussi moderne, chanons traditionnelles, chants du monde... chansons, blues, jazz, rock et différents courants modernes).
Technique : Solfège, composition des accords
Chant individuel et choral, et avec son propre accompagnement
Apprentissage de deux instruments, dont l'un sau moins sollicite une bonne coordination des deux mains (piano, guitare classique).
- Géographie des pays, connaissances des villes (grandes villes du monde, villes grandes et moyennes en Europe, en France, toute ville grande ou moyenne ou importante sur le plan culturel), des fleuves dans leur impact sur la culture d'un pays : voix culturelle : exemple La Loire et ses châteaux, le Nil et les Pyramides, le Mississipi et l'histoire des EU, etc..., routes culturelles.
- Cinéma
- Culture générale (Mode, sports, cuisine...)

-L'Economie et la Société

- Géographie humaine et économique
- Economie, enjeux économiques
- La société : par ex. municipalités, associations, banlieues, rôles des administrations... évolution des sociétés.
- Instruction civique : élections, institutions.
- Principes moraux et de respect.
- Gestion de la maison, du budget, système bancaire et boursier, épargne, successions, lois du mariage, etc...

Les exposés doivent être faits en français et dans les langues étrangères vivantes étudiés par l'élève.

- Activités manuelles et extérieures :

- Couture, tricot, broderie, bricolage, construction de meubles, cuisine, ...
- Sports doux : natation, randonnée, (pour les sports plus ardus, les faire en club), danse folklorique et de salon.
- Ecologie, plantations, jardinage, observation des animaux et des plantes.

-L'informatique

- L'Ordinateur et sa sécurité,

- Du bon usage d'Internet

- La bureautique sur ordinateur,

- Recherche de renseignements et Communication sur Internet

-Stages dans 9 à 30 métiers dans le "collège" (4ème à 2nde, mais ces certificats par métier (rapports de stages)devraient être acquis quelque soit le niveau scolaire atteint entre l'âge de 13 et de 16 ans d'aniiversaire à anniversaire.)

Chaque sous-matière fera l'objet de plusieurs années d'étude (une colonne) réparties en un certain nombre de "trimestre". Au début de chaque trimestre le professeur donne à l'élève un petit livre contenant tous les ojectifs à atteindre dans sa matière. Chaque objectif fait l'objet d'une évaluation. Un certain score doit être atteint dans l'évaluation pour passer à l'objectif suivant. Si l'élève n'a pas réalisé tous les objectifs d'un trimestre, il reste dans le même trimestre, consilide les bases du trimestre et finit ses objectifs. Si les objectifs ne sont pas atteints au bout de deux trimestres, l'élève triple avec une aide accrue du professeur. Un élève ne peut passer au niveau suivant d'une sous-matière que s'il a réalisé tous les objectifs du trimestre précédent.

Les objectifs atteints sont mis dans un carnet (et aussi répertoriés éléctroniquement sur le site de l'école et l'ENT de l'élève), où ils sont classés par matière. Un planning sera établi pour savoir après quel objectifs réalisés on donnerait le certificat de tel matière dans tel cycle primaire ou secondaire. Exemple : Le calcul, les quatre opérations : 1ère et 2ème année de premier cycle primaire (3ème de maternelle et CP). Le certificat : calcul, les quatre opérations, est donné à la fin des maths du CP donc au bout de six trimestres réussis. Avec des apprentissages de calcul en plus, le certificat, calcul est donné à la fin du premier cycle primaire. Quand l'élève a récolté tous ses certificats dans toutes les matières du premier cycle primaire, on lui donne le certificat du premier cycle primaire,ect..

Pour garder les dénominations traditionelles on donnerait : le certificat du second cycle primaire (en 5ème), le brevet ou certificat du premier cycle secondaire (en 2de) , et le baccalauréat (certificat du second cycle secondaire en Terminale) et le certificat pour l''entrée à l'université à la fin de la "Propédeutique". Ceci dit, on pourrait aussi changer les numéros des classes.....

dominique

Architecture d'inspiration religieuse;

Si j'ai cette idée d'architecture d'inspiration religieuse (galeries à arcades avec vitre escamotable en été), c'est parce que j'ai été moi-même souvent dans des stages de musique en été, stages qui se déroulaient parfois dans des bâtiments conventuels. Dans de tels bâtiments, l'architecture est inspiratrice. Même sans sentiment religieux particuler, on sent la sérénité, la quiétude, le ferveur se dégager de ces murs puissants, on y sent le silence favorable à l'étude. C'était là que les moines recopiaient des livres entiers, les décorant d'enluminures. On se sent généralement plus attiré par l'étude dans ce genre de bâtiment que dans des batiments modernes, qui sont souvent mal aérés.
Il est temps de recréer des écoles avec des architectures traditionnelles, mais comprenant tout le confort, des architectures inspiratrices, qui ne donnent pas dans le gigantisme ou le projet architectural gigantesque.
Les murs doivent être solides et épais, pour donner l'impression de solidité (des connaissances), de préférence dans des matières naturelles, telles que pierre de taille, briques. Les murs peuvent être recouverts extérieurement de crépis blancs, jaunes ou orangés, par exemple dans le midi, et doivent respecter l'architecture traditionnelle locale.
Adieu, le collège rectangulaire, uniforme. Créons de petits bâtiments solides, en style du pays aux formes agréables, aux ouvertures en arcades ou rondes, pour que l'enfant et l'adolescent se sente comme dans sa maison et pas à l'école, mais en même temps par une architecture d'inspiration religieuse inspirant le respect, pour qu'il soit plongé dans l'étude et le silence.
Les galeries entre les bâtiments, seraient couvertes et auraient des architectures un peu comme des cloîtres.
En fait, les bâtiments devraient être, dans le style du pays, solides, jolis, et inspirateurs.
Dominique

Architecture (2)

Dans ce blog, j'ai décrit ce que devrait être un centre scolaire contenant les quatre cycles. Bien sûr, il n'est pas question de démolir tous les bâtiments existants jusqu'ici. Dans un premier temps, il faudrait essayer de regroupes des bâtiments scolaires proches les uns des autres, ou des écoles proches les unes des autres, pour en faire des centres contenant les quatre cycles. Avant de construire les ensemble scolaires de l'avenir, tels que je les ai décrits ci-dessous.
On pourraient en attendant aménager des écoles, ou lycées ou collèges situés les uns près des autres pour que les élèves puissent passer rapidement d'un endroit à un autre. Il existe actuellement des lycées gigantesques, aux multiples bâtiments. Dans de tels lycées, un seul bâtiment pourrait abriter les 4 cycles d'une rue ou de plusieurs rues ou d'un petit quartier. Appelons-le : Bâtiment de la rue de l'église. ou Bâtiment de la rue Jules Ferry (si elle existe réellement), et regroupons dans ces bâtiments les élèves par rue, par quartier, mais sur 4 cycles et 14 années d'études. Ceci en attendant de construire les bâtiments de nos rêves décrits dans le message précédent (ci-dessous).
dominique

L'architecture scolaire

Comment concilier le fait que des élèves pourraient être à des niveaux très divers dans différentes matières, et le fait qu'ils soient en école, en pré-collège, en collège, et en lycée en même temps.
Et bien, c'est assez simple, l'élève ne changerait pas d'école, ni de ville en changeant de cycle.
Les professeurs pourraient enseigner dans les quatre cycles en même temps, ce qui supposeraient que les quatre cycle soient très proches maintenant.
Admettons que l'ECOLE serait une école de village, ou regroupant plusieurs villages ou de quartier qui aurait environ la taille de deux écoles primaires actuelle.
Sur le même terrain, seraient situés le pré-collège, le collège et le lycée qui reprendrait tous les élèves de l'école primaire du même quartier ou des mêmes villages.
Ce qui signifierait que des ensembles scolaires ayant Ecole, pré-collège, collège et lycée pourraient regrouper par exemple en tout 400 à 600 élèves (plus les parents et chômeurs qui voudraient retourner en classe), d'un quartier, d'un gros bourg ou gros village ou de plusieurs petits villages.
L'élève jusqu'à son bac, resterait toujours dans le même quartier, le même village, le même groupe de village pour aller à l'école.
Sauf pour les enseignements professionnels qui ne pourraient pas être donnés dans l'environnement immédiat du domicile et de l'école de l"élève pour lequel on envisagerait un ramassage scolaire à partir du centre scolaire, le bus d'un centre scolaire faisant une tournée pour déposer les élèves du collège ou du cycle secondaire 2 professionnel, devant les entreprises où ils feraient des stages.
Le plan des bâtiments scolaires pourraient être le suivant : soit quatre bâtiments de taile égale placés autour d'une place en forme de cercle. Avec des architectures agréables qui feraient plus penser à des ensembles d'habitations que à de gros bâtiments aux formes égales et "mastocs'.
Soit un seul bâtiment en forme d'ailes de moulin (vu d'avion) et un escalier central, chaque aile contenant un cycle et les grands cotoyant ainsi les petits enfants.
Dans le premier cas, des passerelles pourraient relier les quatre cycles permettant aux personnes fréquentant plusieurs cycles et aux professeurs de se déplacer rapidement.
Les bâtiments seraient de préférence de plein pied ou n'auraient qu'un seul étage.
En ce qui concerne les bâtiments placés par quatre autour d'une place ronde (ou carrée), la face avant des bâtiments serait longée de galeries, dans lesquelles les classes donneraient directement, ces galeries seraient en forme d'arcades à la manière des places des bastides du bordelais ou à la manière de cloîtres, mais les parties vides seraient comblées par des portes en verre que l'on pourrait escamoter en été par un système électrique qui les feraient rentrer dans les piliers, les élèves et professeurs, pouvant alors circuler dans des galeries chauffées en hiver ou profiter de l'air libre en été.
Quand les bâtiments auraient des étages ceux-ci seraient aussi bordés de galeries à arcades surplombant les premières.
Les classes auraient des fenêtres, toujours à arcade, les arcades donnant un "air religieux" aux bâtiments ce qui favoriserait la quiétude et la sérénité de l'étude. Elles auraient des fenêtres à la fois du côté de la galerie et deux portes, vitrées qui laisserait voir l'espace extérieur au bâtiment et des fenêtres normales, mais à arcades du côté "jardin".
Les bâtiments seraient bordés d'arbres, assez denses sur la face avant des bâtiments, au niveau de la place centrale. Les cours de récréation seraient placées du côté jardin, et entourées d'arbres avec des bancs autour des cours et des terrains de sport, des jardins pédagogiques seraient placés ça et là et on laisserait une belle place aux fleurs. Les cours seraient placées de telle façon que des classes on aurait de belles échappées sur la campagne environnante ou sur les collines éventuelles ou la mer s'il y en a dans les alentours de l'école. Leurs contours ne seraient ps régulier, le tout serait un peu comme un parc. Commed des parents prendraient leur récréation en même temps que les enfants, on aurait besoin de moins de surveillance.
Il n'y aurait en pricipe pas besoin de cantine, les parents et les enfants pouvant rentrer chez eux entre midi, vu la proximité de leur domincile. On pourrait leur préparer, s'ils n'ont pas le temps de préparer les repas la veille, des paquets repas qu'ils mangeraient chez eux. Dans le cas où l'enfant aurait des parents travaillant loin et n'aurait pas de grand frère ou grande soeur qui pourait aller manger avec lui à la maison, on pourrait envisager une petite cantine regroupant seulement ces enfants-là. Elle pourrait être dans une galerie ronde placée sur la place intérieure. On pourrait placer sur cette place intérieures aussi un bâtiment administratif ayant une architecture jolie, une petite médiathèque bibliothèque qui pourrait en même temps être municipale, et sur les extérieurs de l'école dans des parties boisées, des maisons des professeurs pour les professeurs habitant au loin ou désirant travailler sur place le soir. On y metrait à leur disposition dans ces maisons des chambres individuelles et des bureaux, de même que des espaces de cuisine communs.
dominique
NB : Si vous vous inspirez fortement de mes idées, j'aimerais que vous en citiez la source, pseudo, titre du blog, et adresse électronique du blog.

Les cycles scolaires

Voici remis au clair, les cycles scolaires de ma réforme....
Bien sûr, ils ne correspondraient qu'en gros aux niveaux des classes actuelles, car les élèves avanceraient par matière et non par niveau de classe entier, et on pourrait trouver dans les classes des élèves de tous âges, et aussi des parents désirant ce recycler (il n'y aurait aucune obligation des parents au chomâge ou au foyer de venir ce recycler avec leurs enfants, s'ils ont un niveau scolaire inférieur au leur, mais des informations seraient faites dans ce sens dans les quartiers des villes et les villages, et le bouche à oreille aidant, il est probable que de plus en plus de parents saisiraient cette possibilité. La présence de parents dans les classes seraient une bonne forme de combat contre l'indiscipline, les parents étant sensés montrer l'exemple, ils s'engageraient avant de venir s'asseoir sur les bancs de l'école à avoir une conduite exemplaire pour les enfants, il vaudrait mieux assurer la discipline et combattre la violence à l'école de cette façon, plutôt que de faire entrer à l'école la police, comme veut le faire notre ministre actuel.
Voici donc mis au clair les cycles de ma nouvelle Ecole. En 1 je donne le cycle de ma Réforme et en 2 le nom de la classe actuelle que l'on pourrait renommer.
Cycle maternel : 1ère et 2ème année de maternelle.
Cycle primaire 1 : Dernière année de maternelle, CP, CE1,CE2 (l'école serait obligatoire à partir de ce cycle.
Cycle primaire 2 : CM1,CM2, 6ème, 5ème.
(Ce cycle bien que des parents et des élèves plus jeunes et plus agés seraient dans ces classes, correspondrait à un âge où les enfants sont encore des enfants, les sixièmes en effet sont encore de plein pied dans l'enfance, alors que en cinquième, on a encore des élèves petits et à la psychologie enfantine, et d'autres qui grandissent rapidement et se transforment en ados, tandis qu'en quatrième nous avons affaire à des ados qui ont la plupart du temps presque atteint leur taille d'adulte, grandissant généralement beaucoup pendant les grandes vacances entre la cinquième et la quatrième.)
Cycle secondaire 1 : 3ème, 4ème, 2nde (à l'âge actuel de ces classes, les jeunes sont en plein dans l'adolescence et sont souvent contestataires. On appelle d'ailleurs cet âge, l'"âge difficile" ou même "l'âge bête". Quand on rencontre des groupes de garçons de cet âge dans la rue, on entend souvent comme des beuglements, ceux-ci ne dominant pas encore parfaitement leur nouvelle voix grave).
Cycle secondaire 2 : première, Terminale, Propédeutique (c'est là où l'élève devient sérieux, il commence activement à se préoccuper de son avenir professionnel, veut réussir son bac). Ici on mettrait une année de plus pour laisser le temps au jeune de choisir en toute quiétude sa filière d'enseignement supérieur;
Vous me direz : Et l'enseignement professionnel dans tout cela?
J'ai déjà écrit que dans le cycle secondaire 2, les élèves, à un âge difficile et souvent fatigués (c'est l'âge où ils deviennent "mous", ne savent que faire de leurs grandes jambes qu'ils replient de coté sous les tables), ne devraient pas aller en classe toute la journée, car ils s'énervent et cela les énerve. Alors pourquoi pas, dans le cadre de l'orietnation professionnelle, leur proposer à tous, pour ne pas faire de différences, des sensibilisations à divers métiers dans l'après-midi. L'après-midi, les élèves pourraient aller dans une entreprise, un hôpital, un bibliothèque, un musée, une gare, un magasin, une administration (poste, comissariat, mairie...) de leur ville ou des environs, enfin bref tout endroit où l'on travaille, pour observer un métier sur lequel ils écriraient des compte-rendus et même aider les personnes faisant ces métiers. Il pourraient aussi rester dans son école ét aider à l'enseignement aux plus jeunes s'il veut lui-même être plus tard professeur. Evidemment sous la direction d'un professeur, et en présence de celui-ci pour éviter des erreurs concernant la matière et éviter d'apprendre des fautes aux autres. lls ne seraient pas obliger de toujours passer leurs après-midi à l'école, s'ils veulent être professeurs, mais pourraient s'initier à plusieurs métiers et par exemple enseigner deux après-midi par semaine et aller dans des entreprises durant les autres l'après-midi. De façon à voir plusieurs possibilités d'orientation. Sur les trois années, l'élève au lieu de choisir, s'il est mauvais en classe, une seule filière comme la menuiserie, la chaudronnerie, etc... déjà à un très jeune âge, pourraient se renseigner, étudier et commencer à travailler sur les trois années dans dix à trente métiers de son choix, de façon à bien savoir ce qu'il ferait ensuite.
Cette sensibilisation de grande envergure à la vie professionnelle redonnerait aux élèves de cet âge un certain sérieux qui leur manque souvent, car ils se rendraient compte d'avantage des aléas de la vie, Certains enseignements théoriques pourraient être donnés aussi pour compléter ces séjours dans les entreprises en tout genre, tels que de la biologie et des notions de médecine et de secourisme pour ceux travaillant dans les hopitaux, de la pédagogie pour ceux qui veulent enseigner, des cours de style pour ceux qui veulent devenir journalistes, des cours sur le bois, pour ceux qui veulent faire un métier du bois, d'architecture pour ceux qui veulent faire un métier du bâtiment, des cours de commerce, de secrétariat. Les cours théoriques pourraient être donnés par des formateurs soit directement dans les entreprises, soit dans les collèges, s'ils y a suffisamment d'élèves intéressés pour faire se déplacer un formateur d'une entreprise.
On initierait alors les élèves à ne pas divulguer les secrets d'entreprise.
Les cours de l'après-midi pourraient être consacrés aussi à l'apprentissage de différentes tâches utiles à la maison, telles que remplir des formulaires, une déclaration d'impôts, connaître le droit utile à la vie courante comme le droit sur la consommation, ce qui doit être déclaré dans les impôts, les successions, les mariages et divorces, la gestion d'un budget, des économies, de la banque, etc...
Je pense que tous ceci serait beaucoup plus intéressant pour des ados que tout ce que l'on veut leur faire ingurgiter en connaissances abstraites, qu'il pourraient acquérir plus tard, dans le cycle secondaire 2.
Et après le cycle secondaire 1?
Trois cas de figure se présenterait :
- L'élève qui n'aurait pas de grandes capacités intellectuelles, se rendraient compte de lui-même qu'il doit choisir un métier modeste, et choisirait le cycle secondaire 2 professionnelle en 3 ans. Qui pourrait être suivit de deux années d'enseignement supérieur professionnel le menant à une licence professionnelle.
- L'élève doué, mais qui ne veut pas exercer un métier intellectuel ou "noble" comme médecin, avocat, professeur, pourrait aller dans un cycle secondaire 2 supérieur mixte, qui lui permettrait à la fois de suivre les enseignement du cycle secondaire 2 classique, sous forme de modules à capitaliser, et un enseignement professionnel correspondant au métier qu'il s'est choisi. Il pourait ainsi avoir un bac complet classique et avoir appris un métier non classique. Il pourrait ensuite intégrer une école d'ingénieur dans le domaine choisi.
- L'élève doué qui veut exercer un métier noble, tel que "avocat, notaire, médecin, professeur", irait dans le cyle secondaire 2 classique. Ou il reprendrait les matières classiques qu'il avait étudié dans le primaire et le matin dans le cycle secondaire 1. Les classes reprendraient alors leurs anciens noms de Rhétorique pour la première, Philosophie, ou Maths élèm ou Sciences Ex, ou Physique expérimantale pour la Terminale, puis Propédeutique ou Maths sup ou Sciences Sup ou Physique sup pour l'actuelle première année de fac qui se déroulerait dans les lycées. Il n'y aurait pas de bac. Puisque tout le travail depuis l'âge de 5 ans se ferait par modules, les élèves auraient leur baccalauréat une fois qu'ils auraient satisfait à tous les tests validant un module depuis leur enfance. Ils ne pourraient monter dans le module immédiatement supérieur d'une matière après avoir obtenu celui d'en dessous et pourraient avoir des modules de niveau très différent.
On peut imaginer qu'un élève très doué satisfasse à tous les modules des matières scientiques et littéraires ayant alors un super bac à la fois scientifique et littéraire.
Ceci serait rendu plus facile dans la mesure où l'on pourrait utiliser l'informatique, on pourrait ainsi envisager qu'un élève doué apprenne essentiellement sur ordinateur et par des listes de lecture à effectuer, n'allant dans les enseignements avec professeurs que pour les parties pratiques comme les expériences scientifiques ou la conversation en langue. Les professeurs qui auraient moins d'élèves en enseignement direct, seraient sur le reste de leur emploi du temps, chargé de réaliser des parcours pour les élèves travaillant en autonomie et des programmes de travail, que l'élève suivrait venant faire de temps en temps le point avec les professeurs en rencontre individuelle pour que le professeur suive ses progrès. Ceci éviterait aux élèves sérieux et doués de s'ennuyer dans des classes où "l'on n'avance pas parce que les autres ne comprennent rien et demandent toujours de répéter la même chose."
Certains élèves considérés comme des mauvais élèves actuellement, se révèleraient être de bons élèves, si on les faisait travailler de cette façon.
dominique

dimanche, mai 10, 2009

Passages de niveaux

On ne parlera plus ici de passage de classe, mais de passage de niveaux. En effet tel un élève de conservatoire qui peut être en dernière année de solfège, tout en étant en septième année de piano et en troisième année de violon, les enfants et autres apprenants de l'école, ne progresseraient plus par classe, mais par niveaux de matière.
Avantages :
Cela éviterait des classes trop hétérogènes, dans lesquelles un élève qui a un niveau de deuxième année de langue vivante, serait dans la même classe qu'un autre qui parle couramment et monopolise la parole.
Cela éviterait qu'un élève s'ennuie parce qu'il ne comprend plus rien à une matière.
Cela éviterait qu'un élève s'ennuie ou perde du temps parce que dans une matière, il comprend tout tout de suite, alors que l'on répète 20 fois la même chose pour les autres.
Cela éviterait de trop grandes disparités entre les matières d'un même élève, et que l'élève choisisse ses matières", car quand un élève choisit ses matières, ce n'est pas forcément de sa faute, mais tout simplement parce qu'il ne comprend plus rien dans certaines matières.
Donc, ce ne serait pas seulement dans les langues vivantes en lycée, mais dès la petite enfance que l'élève progresserait par matière.
Les redoublements par année sont trop longs. Car l'élève dans le système actuel doit non seulement reprendre les matières où il était déjà bon en même temps que celle où il est mauvais, mais parfois il doit reprendre une année complète, alors qu'il n'a lâché prise qu'au troisième trimestre par exemple, et avait bien compris ce qu'il a appris aux deux premiers trimestres.
Quelle perte de temps alors pour l'élève dans ses études et c'est là aussi que le découragement s'installe!
Donc, il vaut mieux que l'élève progresse par matière et ne redouble que de petites périodes tels que mois ou trimestres, dès qu'une lacune apparaît dans une matière, sans attendre de multiples lacunes; les livres seraient moins épais et divisé en fascicules par unité par exemple au début duquel se trouverait les savoir-faire à atteindre à la fin de l'unité, et les connaisances à acquérir, comme cela est souvent le cas maintenant, et il passerait un bilan à la fin de chaque unité qui dirait s'il peut continuer ou pas, ou s'il doit reprendre l'unité.
Tout élève qui n'atteindrait pas un seuil minimum fixé pour une unité, seuil qui ne serait pas forcément fixé à 10/20, mais serait variable selon les niveaux et les matières, ne pourrait passer à l'unité suivante. N'avoir que 10/20 dans la première unité de l'étude d'une langue, Cela veut dire, n'avoir que la moitié des connaissances à acquérir, ne connaître que la moitié du vocabulaire qui devrait être connu, ne savoir utiliser que la moitié des structures qui devaient être utilisées, etc... Ce qui voudrait dire que au début de l'étude d'une matière, on pourrait exiger un taux de 90% d'items réussi. Mais pour une dissertation de littérature ou de philosophie n'exiger que 10/20.
Les taux à atteindre seraient alors différents selon les matières et les niveaux. Et les redoublements moins longs et plus ciblés sur une ou plusieurs matières et une unité. Et tant que le taux à atteindre pour l'unité ne serait pas acquis, l'élève ne pourrait commencer l'unité suivante dans cette matière ou une compétence d'une matière.
Ceci ne serait pas valable que pour les langues vivantes, mais pour toutes les matières.
Les avantages seraient les suivants :
L'élève plus faible faisant des redoublements moins longs et dans certaines matières ou compétences seulement, il gagnerait du temps, car il continuerait à progresser sans discontinuité dans les matières où il est bon et pourrait en finir le cursus plus tôt pour se consacrer aux matières dans lesquelles il a plus de difficultés.
Pour avoir cependant la validation d'une année scolaire ou d'un cycle (pour lequel il obtiendrait un diplôme), il faudrait qu'il ait validé toutes les matières de l'année ou du cycle au niveau terminal de l'année ou du cycle. Et toutes les étapes intermédaires unité par unité. Il ne s'agit pas ici d'unités de valeur ou d'étude comme à l'univesité, mais d'unités telles qu'on les voit dans les livres de classe dans lesquels il y a par exemple six ou sept unités par an. Tant que l'élève n'aurait pas réussi l'examen sur l'unité, on ne lui donnerait pas le fascicule de l'unité suivante.
Bon, voilà, j'espère que vous avez bien compris mon système et qu'on ne fera pas de moyen terme entre ma Réforme et autre chose, mais qu'on appliquera ma réforme entièrement.
Dominique

Réforme de l'enseignement (suite)

Voilà bien longtemps que je n'ai pas travaillé à cette Réforme de l'Enseignement, chers concitoyens. En fait, le problème est que dans notre beau pays, on réforme tout à l'envers et on commence par le lycée et l'université, au lieu de réformer en premier l'Ecole Maternelle et l'Ecole Elémentaire.
Alors voilà pour la première année de maternelle je ne réforme pas les programmes, si programme il y a. Par contre il s'est avéré qu'à mon époque, beaucoup d'enfants savaient lire à trois, quatre ans, au plus tard à cinq ans, et que les enfants sont plus motivés à cet âge où ils veulent tous farie comme les grands que plus tard : Alors, dans mon école on apprendra à lire et on apprendra les chiffres et à former des lettres dès la deuxième année de maternelle, comme on le faisait à mon époque. On apprendra aussi à faire des additions et des soustractions. Comme je le faisais à cette époque, moi qui n'étais pourtant pas une "grande lumière".
Bon, voilà, autre chose, les mamans qui ne travaillent pas pourront accompagner leurs enfants et participer à l'enseignement. Les mamans qui ne lisent pas très bien (il y en a) ou qui lisent dans une autre écritue (arabe, grecque, cyrillique) pourront apprendre l'écriture latine, en même temps que leurs enfants. Les papas étrangers au chômage qui ne parlent pas bien le français pourront venir apprendre à écrire l'écriture latine et à parler le français en même temps que leurs enfants. La présence des parents qui n'ont pas (encore) de travail à l'école, pourra empêcher dans les classes suivantes que ne s'installe de la violence entre les enfants et des enfants vis à vis des professeurs.
Sur le plan des bâtiments, l'école maternelle sera intégrée à un complexe scolaire plus important, les élèves du même quartier restant toujours ensemble jusqu'à l'âge du baccalauréat. Les professeurs devraient enseigner leur matière à tous les niveaux, de cette façon, malgré le petit nombre de classes dans chaque niveau (une ou deux classes maximums), les professeurs n'enseigneraient que dans un seul complexe scolaire.
Les âges pour l'école primaire et le collège, ne seraient plus divisés comme maintenant, car l'élève de sixième est encore un enfant qui commence à se transformer en ciquième pour devenir un adolescent en quatrième et acquièrent à ce moment presque leur taille adulte. Bien sûr, avec le système de montée par trimestre et non plus par année, et par matière et non plus sur une moyenne générale, on aurait des enfants de tous les âges dans une classe, plus des parents, mais cela reproduirait la cellule familiale, dans laquelle il y a des enfants de tous âges. Et cela reproduirait également la vie extérieure où dans ses loisirs par exemple dans les clubs de sport, ou les écoles de musique, l'enfant a des amis de tous âges.
Bon, voilà les cycles que je préconise. Vu qu'il y aurait peut-être des enfants de tous âges et des parents dans chaque classe, ces cycles ne sont pas forcément basés sur le développement de l'enfant et de l'adolescent. Mais, par ailleurs, il est probable que les enfants les plus faibles redoublant durant de plus petites périodes et seulement une ou quelques matières, les cycles d'âges, mis à part les parents présents dans les classes, seraient quand même respectés.
Les enfants très doués pourraient faire deux trimestres dans le temps imparti pour un trimestre. On leur donnerait des programmes accélérés en travail individuel pour qu'ils ne s'ennuient pas.
les cycles seraient les suivants :
En començant par les plus âgés :
16 ans à 19 ans : lycée, (programme première, terminale, et première année d'université en lycée, de type classe préparatoire première année ou propédeutique), ce qui entérinerait une cosntatation que l'on fait actuellement, la majorité des élèves passent le bac à une moyenne d'âge de 19 ans. Et cela alignerait la France sur le système allemand, et non le contraire.
Ces niveaux reprendraient les anciennes dénominations de rhétorique, philosophie et propédeutique pour les littéraires, ???, maths élems et maths spé, pour les spécialatés maths, etc...
13 ans à 16 ans (programme actuel 4ème, troisième,seconde) : collège.
De 9 à 13 ans : le pré-collège (les CM2 ne seraient plus les caïds du primaire!) : les pré-ados seraient ensemble, généralement plus dynamiques que leurs aînés, prêts à tous les projets. Généralement, c'est dans la deuxième moitié de la cinquième que les enfants sont fatigués et qu'ils grandissent le plus, ils grandissent généralement davantage au printemps et pendant les vacances d'été entre la cinquième et la quatrième. Ce pré-collège regrouperaient les CM1, CM2, sixième et cinquième. On pourrait y farie l'apprentissage de deux ou trois langues étrangères car les élèves sont plus motivés pour les apprendre. La motivation pour les langues étrangères reprenant vers la première.
J'ai d'ailleurs déjà pensé envoyé ceux de mon collège (quatrième à seconde) faire des stages en entreprise à mi-temps pour leur montrer la réalité de la vie. Bien sûr ils chosiraient leur stage selon leurs goûts. On constate qu'à cet âge beaucoup d'ados ont déjà des activités du style pompier volontaire, et qu'ils sont déjà très responsables d'eux-mêmes. Et qu'ils aspirent à faire autre chose que de rester assis sur une chaise toute la journée à écouter les profs.
De 5 à 9 ans : L'école primaire ou élémentaire. Regrouperait la 3ème année de maternelle, le CP, le CE1 et le CE2.
De 2 à 5 ans : facultatif : le jardin d'enfants ou école maternelle. Cependant les parents devraient metre obligatoirement les enfants en deuxième année de maternelle, s'ils n'assurent pas eux-mêmes les bases de la lecture, de l'écriture et du calcul à leur enfant. Pour que celui-ci soit au même niveau que ses camarades en entrant à l'école primaire à 5 ans.
Bien sûr, les parents au chômage ou ne connaissant pas bien le français et l'écriture latine, ne seraient pas obligés de venir avec leur enfant à l'école, mais on pourrait leur en vanter les avantages qu'ils en tireraient dans des réunions organisés pour eux. Ceux qui ont une profession du soir (dans des restaurants étrangers ouverts que le soir par exemple), pourraient ne venir à l'école que le matin..
D'ailleurs le système allemand avec l'école surtout le matin serait un bon système, car il s'avère qu'en Allemagne les élèves ayant bénéficié de ce système, faisaient leur travail scolaire dans l'après-midi et leurs loisirs le soir (et non le contraire comme on l'a souvent dit en France), et n'étaient pas fatigués le lendemain. Cela permet aux professeurs de corriger leurs copies au jour le jour et pas le soir quand ils sont fatigués, laissant leurs copies de côté si vers 11 heures du soir, ils s'endorment dessus!
Bon, voilà, je vais essayer d'être plus assidue à la présentation de cette réforme d'une manière plus exhaustive.
Ma présentation devrait comprendre :
- Présentation du complexe scolaire, contenant les quatre cycles. Ce système permettrait aux enfants et aux adolescents de rester près de chez eux et dans leur village, s'ils habitent à la campagne, où ils jouiraient d'un environnement davantage protégé des aléas des grands centres urbains.
- Présentation du système de passage de niveau par trimestre dans les petites classes (voire même par mois pour reprendre par exemple un mauvais passage dans une matière). Et par semestre dans les grandes classes.
- Présentation du système permettant en même temps la remise à niveau et la formation des parents dans les écoles et collèges et lycées en même temps que les adultes.
- Présentation des programmes dans les matières où je me sens compétente et création de nouvelles matières. Exemple :
- séparation de l'histoire et de la géographie,
- regroupement de la biologie des plantes et des roches avec la géologie,
- la géographie physique et l'écologie, regroupement de la géographie humaine avec l'économie et les sciences sociales,
- introduction d'une matière de culture générale comprenant l'art, la religion (insipensable pour connaître les références des textes littéraires), mythologie, et d'autres connaisances moins scolaires,
- littérature non plus uniquement française mais mondiale, séparée de l'étude du
- bon français étudié pour lui-même (grammaire, othographe, style), couplé avec l'étude du latin et du grec,
- matière de communication (non seulement l'aspect technique d'Internet, mais aussi son aspect humain par des contacts internationaux par Internet sur des matières ou des projets),
- plusieurs langues étrangères de types différents (une agglutinante, et une comme la nôtre : il paraît que cela favorise l'apprentissage d'autres langues ensuite. Une langue d'écriture différente (stimule l'esprit).
- plus grande place accordée à la musique avec étude obligatoire d'un instrumetn compliqué manuellement (coordianation favorisant le développement du cerveau) : guitare, piano, ...
- pas trop de sport parce que faire trop de sport peut entraîner des problèmes d'embonpoint à l'arrêt du sport à l'âge adulte par transformation des muscles en graisse. Ma soeur qui n'aimait pas le sport est restée mince, alors que faisant vers l'âge de 20 ans 4000 mètres de natation par semaine, j'ai grossi.
Etc....
Dominique